Faux votants (comme en 1793 pour la mort de Louis XVI), votants doubles, votants radiés en masse, 0% de votes blancs à Lyon [1] ! 35% pour Macron et seulement 4,99% pour Le Pen à Paris ! Des scores très étranges dans des mairies PS (Gérard Collomb et Anne Hidalgo). Ajoutons à cela qu’au moment où les résultats du premier tour furent donnés le dimanche 23 avril à 20 heures, les dépouillements n’avaient pas encore été effectués. Ces mêmes résultats ont, comme par hasard, correspondu fidèlement aux instituts de sondage dont on sait l’impartialité légendaire !

Le score d’Emmanuel Macron est-il justifié ? Certainement pas. Rien ne nous prouve ces 24%. Et au regard de son impopularité, ce score est difficilement crédible. Tout comme celui de Benoît Hamon (6%) qui représentait le PS ; un parti avec un passé, une histoire, une base militante conséquente. Soit tout l’inverse de Macron qui a fondé son parti il y a seulement un an, n’a pas de militants de terrain et dont le vide politique saute aux yeux de tous. Dès lors, nous sommes en droit de trouver suspect ces 2 scores et de croire à cette éventualité : Hamon aurait-il été siphonné au profit de Macron, avec la complicité de la direction du PS ? Serait-il le dindon de la farce dans ce qui ressemble à un coup d’État électoral ? Autre possibilité : des votes nuls ont très bien pu être reversés pour le banquier des Rothschild.
Remarquons également que la gauche socialo-maçonnique sort d’un quinquennat catastrophique. Et que si nous ajoutons les trois candidats issus de cette même famille politique du PS (Macron, Mélenchon et Hamon), nous arrivons à 49,95% ! Cela veut dire que si le PS avait présenté un seul candidat, il aurait fait 49,95% au premier tour !
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