Le discours du 22 février au CPAC [1] de la petite fille de Jean-Marie Le Pen ne peut laisser indifférent à bien des égards. Car derrière les mots, il y a un message envoyé au peuple français et des interrogations qui laissent dubitatif.
Déjà, pourquoi revenir sur la scène politique aux Etats-Unis ? Et pourquoi ce retour si rapide pour une jeune femme qui avait annoncé son retrait de la vie politique il y a seulement quelques mois ? Force est de constater que son break fut très court et qu’il s’agissait d’un faux départ. Pour mieux revenir. Par une porte qui lui ouvrira certainement d’autres portes… En faisant croire à un retrait de la vie politique à l’aube des élections législatives de 2017, Marion Maréchal-Le Pen a clairement pris les gens pour des imbéciles. Et le plus terrible, c’est que la plupart de ses nombreux « suiveurs » n’y voient que du feu, car aveuglés par son sourire, sa tenue, son bagout, sa com’. Décidément, la masse ne comprend rien aux vrais enjeux. Pire encore, elle n’a plus d’idéal car elle n’a plus la foi. C’est la raison pour laquelle le salut ne peut venir des urnes.
Au-delà de ce discours de façade, le français moyen qui vote tous les 5 ans doit bien comprendre que, pour tout homme politique aujourd’hui, être adoubé par le lobby judéo-sioniste est un passage obligé pour réussir. D’où cette danse du ventre de la petite-fille Le Pen chez les néo-conservateurs (les héritiers de Bush) dont on sait qu’ils sont ouvertement dévoués au grand Israël sioniste.