Le besoin d’écrire me pousse aujourd’hui à livrer un ressenti personnel et à dévoiler une partie de moi-même, [1] A partir d’une situation inimaginable il y a quelques mois et au-delà du fond de l’affaire sur lequel je reviendrai plus tard. [2]

L’emprisonnement produit un choc psychologique incitant à la remise en question sur la base de principes. Cette privation de liberté est d’abord et avant tout une sanction. Si elle n’est pas un bien en soi, elle peut toutefois permettre un plus grand bien. [3] A titre personnel, cette histoire me ramène au 8 janvier 2007, date du décès de Louis qui m’avait fait basculer dans “une autre vie”et qui déboucha, 3 ans plus tard, sur ma conversion. Un schéma assez semblable tend à se reproduire (choc, remise en question, progression), car il y aura assurément un avant et un après La Farlède.
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