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Interview d’E. Michael Jones sur « L’esprit révolutionnaire juif »

L’esprit révolutionnaire juif est un livre de référence sur l’antijudaïsme, une sorte d’encyclopédie historique dont le fil rouge est théologique. Préfacé par Pierre Hillard, l’ouvrage d’Eugene Michael Jones s’inscrit dans la grande tradition de la littérature catholique contre-révolutionnaire. Ce livre traite des multiples aspects de cet esprit révolutionnaire qui parcourt l’histoire depuis 2000 ans. Il cible, avec pertinence et précision, le mal spirituel rongeant cette communauté qui ne cesse de rejeter le messie annoncé dans l’Ancien Testament. Édité en France aux éditions Saint-Rémi, L’esprit révolutionnaire juif est un ouvrage à lire et à relire tant il est complet et riche en informations.

Comment définiriez-vous l’esprit révolutionnaire juif ?
E. Michael Jones : C’est le rejet du Logos par le peuple élu de Dieu.

Cet esprit réside-t-il avant tout dans le rejet de Jésus-Christ et l’opposition au Logos ?
Oui, cela commence par le rejet du Christ, mais se retrouve ensuite dans le rejet du Logos dans toutes ses manifestations, y compris l’ordre social en politique, la beauté en art et l’harmonie en musique.

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L’esprit révolutionnaire juif – Morceaux choisis

Voici quelques extraits de l’immense livre d’Eugene Michael Jones intitulé L’esprit révolutionnaire juif et son impact sur l’histoire du monde :

« L’Europe, c’est la foi biblique plus la pensée grecque [1] : l’Europe est fondée sur le Logos. » (page 22)

« C’est uniquement dans le christianisme que les juifs peuvent trouver l’accomplissement de leurs attentes messianiques. » (page 78)

« La Kabbale semble être née au douzième siècle en Provence, où elle était l’équivalent juif de l’hérésie albigeoise, à savoir une résurgence du gnosticisme néoplatonicien. » (page 253)

« L’évangile se fait charnel quand on le sépare de l’Église ; il dégénère alors au point de justifier la violation de la chasteté et de l’interdiction de l’usure. Il devient en fin de compte, comme Nietzsche l’a dit, une façade pour la volonté de pouvoir. » (page 351)

« Grâce au soutien juif, [2] les calvinistes devinrent en 1566 la manifestation de la révolution mondiale. » (page 381)

« À l’instar des Cecil et des Russell, les Cromwell tiraient leur richesse et leur pouvoir du pillage des biens de l’Église catholique. » (page 448)

« La révolution est fondamentalement une idée juive. » (page 465)

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