À l’heure où les médias alignés et une partie de la tradition rendent hommage à Joseph Ratzinger (Benoît XVI) et où trop de catholiques considèrent Jean XXIII et Jean-Paul II comme « saints », il est nécessaire, selon moi, de rappeler quelle est la situation dans l’Église et quelle conclusion en tirer.
Précision à la 2ème minute : c’est au canon de la messe que le prêtre prononce ou pas (messe non una cum) le nom de celui qu’il considère comme pape. Autre précision : un pape ne peut être moderniste car l’hérésie sépare de l’Église et le modernisme est l’égout collecteur des hérésies.
Sur Vatican II et les différents chefs modernistes de la secte conciliaire, une conférence avait été donnée sur le sujet en novembre 2018 :
Pour aller plus loin, de manière complète, sur la crise dans l’Église :
On ne comprend rien à l’histoire de ces derniers siècles si on ignore l’action décisive des sociétés secrètes sur la politique des nations. Les écrits du général Franco nous en apportent une énième preuve. (…)
L’antipatriotisme et l’anticatholicisme constituaient les deux axes principaux de sa critique antimaçonnique. Sa position n’a évidemment rien à voir avec celle de nos dirigeants actuels : tous républicains, tous affiliés ou inféodés à la franc-maçonnerie internationale, elle-même pilotée par la maison-mère israélo-sioniste. (…)
La franc-maçonnerie espagnole décrite par Franco est semblable à celle du Grand Orient de France : athée, politisée, très anticatholique et révolutionnaire. Les mêmes causes produisant généralement les mêmes effets, la déchristianisation des deux pays s’est étalée sur les dernières décennies, ces deux nations autrefois chrétiennes étant désormais l’ombre d’elles-mêmes. Le Grand Orient eut un influence décisive dans cette déchristianisation ayant engendré la dégradation des mœurs. (…)
Cet extrait tiré d’une interview datant de septembre 2014 est toujours d’actualité. Toutefois, pour aller plus loin sur cette crise dans l’Église romaine, il y a cette conférence donnée à Toulon : Une loge maçonnique dirige le Vatican portant sur mon dernier livre sorti il y a 2 ans, jour pour jour, le 19 septembre 2018.
« L’Europe, c’est la foi biblique plus la pensée grecque [1] : l’Europe est fondée sur le Logos. » (page 22)
« C’est uniquement dans le christianisme que les juifs peuvent trouver l’accomplissement de leurs attentes messianiques. » (page 78)
« La Kabbale semble être née au douzième siècle en Provence, où elle était l’équivalent juif de l’hérésie albigeoise, à savoir une résurgence du gnosticisme néoplatonicien. » (page 253)
« L’évangile se fait charnel quand on le sépare de l’Église ; il dégénère alors au point de justifier la violation de la chasteté et de l’interdiction de l’usure. Il devient en fin de compte, comme Nietzsche l’a dit, une façade pour la volonté de pouvoir. » (page 351)
« Grâce au soutien juif, [2] les calvinistes devinrent en 1566 la manifestation de la révolution mondiale. » (page 381)
« À l’instar des Cecil et des Russell, les Cromwell tiraient leur richesse et leur pouvoir du pillage des biens de l’Église catholique. » (page 448)
« La révolution est fondamentalement une idée juive. » (page 465)
Dans cet extrait d’une vidéo datant de septembre 2014, un rapide état des lieux est fait sur la crise dans l’Église. Depuis, j’ai eu l’occasion d’approfondir ce sujet dans mon livre Une loge maçonnique dirige le Vatican.
Merci à Petrus Miles Christi pour le montage vidéo.
Il y a deux ans jour pour jour, était publiée cette conférence donnée à l’occasion de la sortie du livre La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture. Contre toute attente, cette vidéo a eu le don d’affoler les compteurs (+ de 330000 vues), au point de mettre en panique [1] divers membres de la contre-Église dans les commentaires.
En vue de leur conversion au catholicisme, voici une prière du pape Léon XIII qui leur est adressée : « Demandons à la vierge Marie, mère de Dieu, de se faire notre auxiliaire et notre interprète. Victorieuse de Satan dès le premier instant de sa conception, qu’elle déploie sa puissance contre les sectes réprouvées qui font si évidemment revivre parmi nous l’esprit de révolte, l’incorrigible perfidie et la ruse du démon. Appelons à notre aide le prince des milices célestes, saint Michel, qui a précipité dans les enfers les anges révoltés ; puis saint Joseph, l’époux de la très sainte vierge, le céleste et tutélaire patron de l’Église catholique et les grands apôtres saint Pierre et saint Paul, ces infatigables semeurs et ces champions invincibles de la foi catholique. Grâce à leur protection et à la persévérance de tous les fidèles dans la prière, nous avons la confiance que Dieu daignera envoyer un secours opportun et miséricordieux au genre humain en proie à un si grand danger. »
Retrouvez ci-dessous une interview parue dans l’excellent journal Rivarol le mercredi 24 octobre 2018.
« Depuis plusieurs années, Johan Livernette combat le système judéo-maçonnique par ses ouvrages, ses conférences et son site Internet. Ce Toulonnais vient de sortir un nouveau livre intitulé Une loge maçonnique dirige le Vatican. Un ouvrage qui synthétise la crise dans l’Église depuis la mort de Pie XII il y a soixante ans.
RIVAROL : Pourquoi avez-vous écrit ce nouveau livre ?
Johan LIVERNETTE : La situation à Rome étant alarmante et la crise dans l’Église très grave, il m’a semblé nécessaire d’informer de manière complète sur ce qui s’y passe depuis la mort du pape Pie XII en 1958. Les soixante ans d’église conciliaire sont retracés dans Une loge maçonnique dirige le Vatican, dans un esprit de synthèse. Cela est important car il nous faut aller à l’essentiel, ne pas perdre le lecteur ou se perdre dans des futilités. Ce sujet n’a d’ailleurs rien de futile. Il importe au plus haut point car notre foi et même notre salut en dépendent.
R. : La cause première de cette crise remonte-t-elle au concile Vatican II ?
J. L. : Combiné à l’infiltration juive et maçonnique, le libéralisme est à l’origine de cette crise. Mon livre remonte à l’année 1958 car le concile Vatican II (ou Vatican d’eux) est encore aujourd’hui le cœur du problème. C’est la raison pour laquelle il est analysé en détails sur de longues pages sur la base de ses textes et documents, dans un esprit critique très proche de ceux qui s’y étaient opposés au siècle dernier (Mgr Lefebvre, Mgr de Castro Mayer…). L’aspect révolutionnaire de ce concile est mis en avant. Il est fondamental pour bien comprendre qu’il y a un avant et un après Vatican II. Contrairement à ce qu’a essayé de faire croire le félon Benoît XVI, il n’y a pas de continuité mais une rupture avec la tradition catholique. Ainsi, la considération de l’église romaine actuelle, qui est l’église du dernier concile, s’en trouve changée. La conclusion suivante s’impose : cette église conciliaire de Vatican II n’est pas l’Église catholique.
Le mois prochain, sortira mon nouveau livre intitulé « Une loge maçonnique dirige le Vatican ». Ce titre est aussi celui d’un article que j’avais publié en décembre 2013. Mon prochain livre sera son large développement puisqu’il comportera 265 pages réparties en 9 chapitres. Il pourra bien sûr être commandé sur ce site. Voici la couverture de mon 7e livre :
L’évangile avait proclamé les droits de Dieu sur terre et pour tout être humain. Les Droits de l’Homme, cette sorte de contre-évangile, ont fait exactement l’inverse. À tel point que depuis cette historique déclaration, Jésus-Christ est mis hors-la-loi. (…)
La loi de séparation de l’État et de l’Église fut un temps fort de cette laïcisation de la société. Nos élites maçonniques aiment la faire passer pour progressiste alors qu’elle va contre la loi naturelle. Car ce que Dieu a uni, l’homme ne doit point le séparer. La laïcité porte donc le masque du progrès alors qu’elle est à l’origine de la régression morale de notre société. Religion et morale étant étroitement liées. Parce qu’elle va contre la loi naturelle voulue par Dieu et qu’elle fut condamnée par saint Pie X, la laïcité s’avère non seulement antichrétienne mais bel et bien satanique. Car elle a d’abord engendré une humanité sans Dieu avant de dériver vers une humanité contre Dieu.
Chapitre VIII – Les faux principes
Vous pouvez commander ce livre via Paypal ou en envoyant un chèque de 23,80 euros (frais de port inclus) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante :
Au menu de cette seconde interview accordée à Croa :
– François Fillon
– Affaire Christophe Bejach*
– Primaire de la gauche
– François Asselineau
– Jorge Mario Bergoglio (François)
– Avigdor Liberman
– Sortie prochaine du livre « La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture »
*Précision à la 4e minute : Fdesouche et Robert Menard ne sont pas, à mes yeux, de véritables opposants au système, à cause de la position sioniste pour l’un et des liens avec la CIA pour l’autre.
Dès 20 heures, le samedi 1er octobre à Paris, seront données deux conférences au bar-restaurant Le Palais situé en face de l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet. La première sera présentée par Florian Rouanet. Elle s’intitule « Église/Vichy, l’alliance de l’État et de la religion ». Dans la seconde, je traiterai de l’antagonisme entre Dieu et Satan, une thématique ayant été abordée à Sainte-Croix-du-Mont et dans mon dernier livre Le complot contre Dieu. L’entrée a été fixée à 4 euros avec une consommation obligatoire.
Après 9 heures passées dans les transports en commun (train + bus) et 3 heures de retard sur l’horaire prévu, je me devais de donner le maximum -d’infos et d’énergie- pour les personnes ayant attendu patiemment mon arrivée à Lausanne.
Liée à la gouvernance mondiale, la thématique de l’unification de l’Europe m’a permis de passer du politique au religieux sur la base de faits et documents historiques dans la lignée de mon dernier livre Le complot contre Dieu, en nommant les responsables, en informant sur leur projet ; car il nous faut toujours combattre les causes des problèmes de ce monde, et pas seulement les conséquences (comme le fait Éric Zemmour par exemple).
Outre cette conférence qui sera bientôt publiée sur mon compte Youtube, il me paraissait important de mettre l’accent, auprès des jeunes nationalistes suisses, sur les clivages Dieu/Satan et Église/contre-Église, l’importance que Dieu soit le premier servi, afin d’intégrer le bon paradigme et de comprendre la totalité des enjeux mondialistes.
La magie de ce genre d’événement aidant, la recherche de vérité conduit des gens de tous horizons à se croiser, voire se rassembler, l’espace d’une journée. De l’historien révisionniste à l’athlète de haut niveau en passant par le jeune nationaliste, le père de famille catholique, la maman épanouie, l’étudiant, le retraité érudit et dans d’autres contextes que Lausanne : le musulman intéressé par le complot talmudo-maçonnique.
Ce court passage à Lausanne m’a aussi permis de rencontrer des gens d’une exceptionnelle gentillesse. Merci donc aux organisateurs de Résistance helvétique qui pouvaient difficilement mieux m’accueillir, à l’instar des personnes qui m’ont aimablement accompagné dimanche. Il y aura certainement un Lausanne acte II, dans quelques années. J’espère être ponctuel cette fois-ci et ne jamais décevoir mon fidèle auditoire.
En préambule de cet entretien paru le jeudi 29 janvier dans le Rivarol n°3173, je tenais à louer le courage et l’intégrité de ce journal qui est assurément le meilleur média papier en France. Je recommande particulièrement la lecture des éditoriaux de Jérôme Bourbon. Pour s’abonner au journal Rivarol, veuillez vous rendre sur : Abonnements à Rivarol.
Rivarol : Vous avez récemment publié votre cinquième livre qui s’intitule Le complot contre Dieu. Comme son sous-titre l’indique, le mondialisme y est démasqué. Après Deux cris dans la nuit (2011) qui traitait déjà, dans certains chapitres, du complot mondialiste, qu’est-ce qui vous a poussé à aller plus loin dans vos recherches ?
JL : Les gens sont aujourd’hui submergés d’infos, notamment sur Internet. Il est facile de se laisser déborder par ce flux d’informations. Il est bien moins évident d’avoir une bonne grille de lecture des événements. D’où l’intérêt de ce livre de synthèse -dont je suis fier au vu du travail accompli- qui aide à y voir plus clair et met à la disposition du lecteur une somme immense de faits irréfutables.
Au regard de l’Histoire, des événements actuels, des forces en présence qui détruisent les nations, tout ou presque s’explique par le complot talmudo-maçonnique. On nous parle sans cesse de gauche, de droite, d’extrême-droite. Or le combat se situe ailleurs. Je tiens donc à insister sur le terme « talmudo-maçonnique » car il s’agit de la véritable nature du système ; et c’est, selon moi, sur ce terrain, que l’on doit concentrer nos efforts. Sur le terrain religieux, idéologique, et pas simplement politique.
Il faut être aveugle pour ne pas constater une omniprésence juive et maçonnique au sein du pouvoir. Il faut être aveugle pour ne pas voir qu’un lobby a pignon sur rue dans les médias, qu’il se permet tout et n’importe quoi, d’outrepasser les lois et même de les établir dans l’unique intérêt de sa communauté et non de l’intérêt général. À ce titre, l’affaire Dieudonné a fait sauter un verrou. Elle a ouvert les yeux à beaucoup de gens sur les vrais décideurs de cette République. Pour moi, les ennemis de l’humoriste Dieudonné ont commis une erreur stratégique en l’attaquant de la sorte.
Votre livre Le complot contre Dieu mêle politique, histoire et religion. Est-ce une synthèse de tout ce que l’on doit savoir sur le complot judéo-maçonnique ?
Oui, tout à fait. Politique, histoire et religion sont liées. Le complot contre Dieu réunit les trois. Que ce soit à propos de l’Église catholique ou des nations, il me paraissait nécessaire de remonter le cours de l’Histoire pour y voir plus clair, distinguer le fil conducteur des vicissitudes de ce monde et démontrer qu’il existe bel et bien une conspiration contre le trône, l’autel, l’ordre naturel, la chrétienté. Et qu’au final, il s’agit d’un complot contre Dieu.
Il est intéressant, à mes yeux, d’élargir la perspective pour mieux saisir le sens de l’Histoire. Pour savoir où on va, qui fait avancer le mouvement révolutionnaire, quels sont les vrais enjeux de demain. En gros, il est essentiel de connaître la vraie Histoire et non celle qui nous est imposés dans les manuels scolaires. Combien faudra-t-il de livres comme Le complot contre Dieu pour enrayer le rouleau-compresseur médiatique à désinformer ? Certainement beaucoup. Lire la suite