À l’heure où les médias alignés et une partie de la tradition rendent hommage à Joseph Ratzinger (Benoît XVI) et où trop de catholiques considèrent Jean XXIII et Jean-Paul II comme « saints », il est nécessaire, selon moi, de rappeler quelle est la situation dans l’Église et quelle conclusion en tirer.
Précision à la 2ème minute : c’est au canon de la messe que le prêtre prononce ou pas (messe non una cum) le nom de celui qu’il considère comme pape. Autre précision : un pape ne peut être moderniste car l’hérésie sépare de l’Église et le modernisme est l’égout collecteur des hérésies.
Sur Vatican II et les différents chefs modernistes de la secte conciliaire, une conférence avait été donnée sur le sujet en novembre 2018 :
Pour aller plus loin, de manière complète, sur la crise dans l’Église :
La Compagnie de Jésus est un ordre catholique masculin qui a été fondé le 27 septembre 1540 par saint Ignace de Loyola (1491-1556) et qui fut approuvé par le pape Paul III.
Les jésuites d’avant 1789 étaient des missionnaires qui firent autrefois un apostolat remarquable, n’hésitant pas à aller jusqu’au martyr. [1] Qu’il s’agisse des français au Québec ou des espagnols en Amérique du Sud par exemple. Ces missionnaires dévoués à la cause catholique œuvrèrent, par l’éducation et l’enseignement, pour l’évangélisation de la société à travers le monde. Ils firent beaucoup pour la civilisation chrétienne, suscitèrent de nombreuses conversions, furent en quelque sorte la chevillère ouvrière de l’Église en matière d’apostolat. Leur discipline était militaire. Sur le terrain, leur influence était saine et indéniable. Ainsi, lorsque survint la révolution, les jésuites furent logiquement la cible privilégiée de la franc-maçonnerie. Détruire cet ordre catholique fut une priorité de la secte maçonnique.
En 2018, dans l’introduction (page 6) de mon livre Une loge maçonnique dirige le Vatican, la question était déjà posée. La réponse était donnée un peu plus loin par Malachi Martin qui évoquait une « loge spéciale » alors que Pier Carpi parlait, lui, d’une « loge ecclésiastique ».
D’après Henri Barbier dont les travaux sont sérieux et fiables, quatre loges maçonniques ont désormais la mainmise sur l’Église conciliaire issue de Vatican II : la loge Saint Jean de Jérusalem, la loge Rampolla, la super-loge Ecclesia [1] et une dernière loge dont on ignore le nom.
[1] Cette super-loge est très probablement la loge ecclésiastique dont parlait Carpi. D’après Gioele Magaldi, Angelo Roncalli (Jean XXIII) en a fait partie.
Cet extrait tiré d’une interview datant de septembre 2014 est toujours d’actualité. Toutefois, pour aller plus loin sur cette crise dans l’Église romaine, il y a cette conférence donnée à Toulon : Une loge maçonnique dirige le Vatican portant sur mon dernier livre sorti il y a 2 ans, jour pour jour, le 19 septembre 2018.
Cette vidéo établit la bibliographie de mon dernier livre Une loge maçonnique dirige le Vatican qui a été publié en septembre 2018. « Prélats et francs-maçons » de Georges Virebeau a été oublié dans la vidéo. Ce livre informe sur l’infiltration maçonnique au Vatican, notamment sur le cas Rampolla.
Dans cet extrait d’une vidéo datant de septembre 2014, un rapide état des lieux est fait sur la crise dans l’Église. Depuis, j’ai eu l’occasion d’approfondir ce sujet dans mon livre Une loge maçonnique dirige le Vatican.
Merci à Petrus Miles Christi pour le montage vidéo.
« Le nouvel ouvrage de Johan Livernette peut être considéré comme un troisième tome après le « Complot contre Dieu » et « La Franc-Maçonnerie, 300 ans d’imposture ». Huit chapitres traitant de l’évolution du modernisme et de l’influence judéo-maçonnique au sein de l’Église permettront au lecteur de faire le point : 1°) sur la situation du Catholicisme en Europe, et plus spécialement en France ; 2°) sur la position que tout catholique fidèle à la Tradition doit avoir face au déclin de la Papauté, ou du moins ce qu’on s’ingénie encore à désigner comme telle. Se basant, entre autres, sur les recherches de Don Luigi Villa (1918-2012), essentiellement connu pour sa revue mensuelle anti-conciliaire « Chiesa Viva », sur les observations de Mgr Marcel Lefebvre (1905-1991), fondateur de la FSSPX, et sur les déclarations officielles des acteurs du concile Vatican II, de Jean XXIII à François en passant par Paul VI et Jean-Paul II, l’écrivain toulonnais a démontré l’imposture de cette nouvelle église dont les fondements sont en totale contradiction avec les condamnations pontificales des Papes de l’avant-concile : Léon XIII, Saint Pie X et Pie XII, pour ne citer qu’Eux. Dans une vidéo de présentation de son précédent ouvrage « La Franc-Maçonnerie, 300 ans d’imposture » diffusée en 2017 sur YouTube, l’auteur avait décrit son tome comme étant « le livre anti-maçonnique qui les réunit tous ». On peut en dire autant de son dernier livre. En effet, « Une loge maçonnique dirige le Vatican » est tout autant « le livre anti-conciliaire qui les réunit tous », à ajouter à notre collection d’ouvrages contre-révolutionnaires. »
Il n’y aura pas de troisième débat avec le conciliaire et moderniste Arnaud Dumouch, pour bien des raisons. Déjà, les procédés inéquitables de ce youtubeur sont inacceptables : lorsqu’on invite un débatteur, on lui permet de s’exprimer et de développer ses arguments. On ne lui coupe pas sans arrêt la parole. On ne le met pas en arrière-plan avec un son désastreux. [1] Quand on dit autant de bêtises à la minute, on n’adopte pas un ton de donneur de leçons. Quand on a tout à apprendre sur un sujet (l’infiltration maçonnique dans l’Église), on se tait, on écoute et on étudie la question. On n’épingle pas un commentaire sous la vidéo pour influencer (ou plutôt enfumer) les internautes. On ne couvre pas l’intervention orale de son adversaire. On évite également de mettre des titres aussi foireux que « Sédévacantisme contre catholicisme ». [2] On évite aussi de mettre l’accent sur un tout autre sujet (sédévacantisme) pour détourner les auditeurs de la vérité sur le complot. Toutes ces manipulations constatées dans les 2 premières vidéos sont absolument lamentables.
Ce genre de débat devait initialement me permettre de transmettre diverses vérités sur la doctrine, la foi catholique de toujours qui est en opposition avec la nouvelle religion conciliaire. Or ce message est clairement parasité par mon interlocuteur qui débite des hérésies et des mensonges en un temps record !
Vous pouvez commander Une loge maçonnique dirige le Vatican via Paypal ou en envoyant un chèque de 23 € (18 € + 5 € de frais de port) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante :
Le samedi 10 novembre, dès 16 h à Toulon, j’aurai l’occasion de m’exprimer sur la thématique de mon dernier livre Une loge maçonnique dirige le Vatican. Cette conférence importante sera suivie d’une séance de dédicaces. Une participation de 3 € sera demandée à l’entrée (frais de location de la salle).
Pour réserver et connaître l’adresse de la salle, veuillez me contacter dans la rubrique Contact, sur ma page Facebook, par courriel ou au 06 18 46 05 89.
Retrouvez ci-dessous une interview parue dans l’excellent journal Rivarol le mercredi 24 octobre 2018.
« Depuis plusieurs années, Johan Livernette combat le système judéo-maçonnique par ses ouvrages, ses conférences et son site Internet. Ce Toulonnais vient de sortir un nouveau livre intitulé Une loge maçonnique dirige le Vatican. Un ouvrage qui synthétise la crise dans l’Église depuis la mort de Pie XII il y a soixante ans.
RIVAROL : Pourquoi avez-vous écrit ce nouveau livre ?
Johan LIVERNETTE : La situation à Rome étant alarmante et la crise dans l’Église très grave, il m’a semblé nécessaire d’informer de manière complète sur ce qui s’y passe depuis la mort du pape Pie XII en 1958. Les soixante ans d’église conciliaire sont retracés dans Une loge maçonnique dirige le Vatican, dans un esprit de synthèse. Cela est important car il nous faut aller à l’essentiel, ne pas perdre le lecteur ou se perdre dans des futilités. Ce sujet n’a d’ailleurs rien de futile. Il importe au plus haut point car notre foi et même notre salut en dépendent.
R. : La cause première de cette crise remonte-t-elle au concile Vatican II ?
J. L. : Combiné à l’infiltration juive et maçonnique, le libéralisme est à l’origine de cette crise. Mon livre remonte à l’année 1958 car le concile Vatican II (ou Vatican d’eux) est encore aujourd’hui le cœur du problème. C’est la raison pour laquelle il est analysé en détails sur de longues pages sur la base de ses textes et documents, dans un esprit critique très proche de ceux qui s’y étaient opposés au siècle dernier (Mgr Lefebvre, Mgr de Castro Mayer…). L’aspect révolutionnaire de ce concile est mis en avant. Il est fondamental pour bien comprendre qu’il y a un avant et un après Vatican II. Contrairement à ce qu’a essayé de faire croire le félon Benoît XVI, il n’y a pas de continuité mais une rupture avec la tradition catholique. Ainsi, la considération de l’église romaine actuelle, qui est l’église du dernier concile, s’en trouve changée. La conclusion suivante s’impose : cette église conciliaire de Vatican II n’est pas l’Église catholique.
« C’est un état d’esprit nouveau, considérablement éloigné de la tradition catholique, qui s’est imposé au sommet de la hiérarchie romaine. À la fois tourné vers l’homme, vers ceux qui n’adhèrent pas au catholicisme, sans les amener vers la vérité mais en les confortant dans l’erreur. Tournant le dos à Dieu, cette disposition ne peut qu’engendrer l’apostasie. »
Vous pouvez commander Une loge maçonnique dirige le Vatican via Paypal ou en envoyant un chèque de 23 € (18 € + 5 € de frais de port) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante :
Vous pouvez commander Une loge maçonnique dirige le Vatican via Paypal ou en envoyant un chèque de 23 € (18 € + 5 € de frais de port) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante :