Archives de Tag: Jésus-Christ

Entretien avec l’abbé Rioult sur « La clef des Écritures »

On avait quitté l’abbé Rioult sur son excellente synthèse sur la question juive. On le retrouve avec une étude approfondie sur les deux Testaments. Dans La clef des Écritures, il est question de théologie et d’histoire. À travers plusieurs réfutations, son livre donne des clés de compréhension de l’ancien Testament et plus largement de la sainte Écriture.

L’idée fondatrice est la suivante : l’ancien Testament préfigure le nouveau. Il annonce l’arrivée du messie Jésus. Car « la loi mosaïque conduit au Christ. » Son livre traite précisément de la complémentarité et de l’harmonie entre l’ancienne et la nouvelle Alliance. L’une étant imparfaite et provisoire, alors que l’autre lui est qualitativement supérieure ; le Fils de Dieu étant le législateur de la nouvelle Alliance et Moïse celui de l’ancienne. Au fil des pages, l’auteur analyse et argumente en s’appuyant sur les évangiles et les Pères de l’Église, afin que le lecteur saisisse mieux dans quel esprit la sainte Écriture doit être comprise.

Bonjour M. l’abbé Rioult, pourquoi avoir écrit ce livre ? D’où vous sont venues l’idée et l’envie de l’écrire ?

Mon premier livre, synthèse de la question juive (2018), traite de l’imposture judaïque à travers « deux mille ans d’histoire chaotique qui ont abouti “au siècle juif” » pour le malheur et le châtiment d’un monde impie, auto-idolâtré et adorateur de Mammon.

Le deuxième livre sur la question juive paru aux éditions Saint-Agobard a été écrit par Juda le prince : Talmud, Voyage au bout de la nuit (2020). Le Talmud qui a été « le moule de l’âme juive, le créateur de la race », rempli de « fables honteuses » et « de puérilités ridicules », en exaltant l’orgueil et la haine, a accompli un formidable travail de subversion en dénaturant le judaïsme mosaïque. Car la loi mosaïque conduisait au Christ, tandis que la loi Talmudique est antichrist. Avec le Talmud, le judaïsme est donc devenu un terme équivoque qui recoupe deux réalités opposées et contradictoires : un judaïsme provisoire, aujourd’hui disparu car abrogé, qui préparait la mission du Christ, et un judaïsme déicide et imposteur qui œuvre à détruire l’œuvre du Christ.

Ces deux livres ont donc traité du judaïsme postchristique (talmudique). Il manquait un livre ne s’occupant que du judaïsme antéchristique (mosaïque). Il convenait donc de répondre à de nombreuses erreurs sur l’ancienne Alliance en comblant la grande ignorance qui règne à ce sujet. Aussi, afin de clore la question juive, un troisième livre était nécessaire pour montrer non seulement l’infériorité du judaïsme mosaïque mais aussi son harmonie avec la nouvelle Alliance. D’où mon Traité : La clef des Écritures (2022). Car le mosaïsme bien compris, mais non sa trahison talmudique, n’a été que la préparation du christianisme. Les Pères ont démontré contre les hérétiques la divinité de la loi mosaïque, et contre les juifs son abrogation ou son accomplissement. Là où les hérétiques imaginent une antithèse, il y a harmonie parfaite ; et là où les juifs rêvent d’un messie à venir, ou plutôt de sa caricature tribale, il y a l’œuvre universelle et spirituelle du Christ, déjà réalisée comme annoncée par les prophéties.

Pourquoi avoir choisi ce format intérieur avec 2 colonnes par page ?

Pour diverses raisons pratiques : faciliter la lecture des paragraphes, éviter un volume trop épais afin de réduire les frais de port et permettre une grande couverture permettant une synthèse visuel du message principal du livre.

À qui s’adressent vos écrits en priorité ? Aux hérétiques que vous réfutez dans les premiers chapitres ? À tous les catholiques et disciples du Christ ?

A tous. Pour la confusion des uns et l’instruction des autres. Saint Paul écrit en effet : « nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui se perdent : aux uns, une odeur de mort, qui donne la mort ; aux autres, une odeur de vie, qui donne la vie. » (II Cor 2, 15-16)

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Saint Dominique Savio, un exemple d’enfant catholique

Né le 2 avril 1842 à 28 km de Turin, dans le village de Riva di Chieri à 9 heures du matin, Dominique Savio fut un exemple d’enfant catholique. Son père Charles est forgeron. Il a 26 ans à la naissance de son fils. Et sa mère Brigitte est couturière, elle a alors 22 ans. Ses parents vivent dans la pauvreté. Un an avant la naissance de Dominique, ils perdent leur premier-né au bout de 15 jours. Dominique Savio est donc l’aîné d’une famille de 9 enfants. Il est baptisé le jour même de sa naissance à 17 heures. Sa mère aime beaucoup la très sainte vierge Marie. Elle enseigne à Dominique la prière du soir dès 18 mois, en quelques mots, puis l’angelus dès l’âge de 4 ans. Dominique commence ensuite à réciter le chapelet avec ses parents. Il n’a pas encore 5 ans. Seul, il prie chez lui. Il pense et parle au bon Dieu. Il assiste à la messe et devient rapidement enfant de chœur. Dominique est très touché par les souffrances endurées par Jésus-Christ lors de sa Passion.

Il n’a pas 6 ans quand, par sa volonté, il devient servant de messe régulier. Il assiste Don Zucca, le prêtre de son village, mais ne peut pas encore communier. Il sait son catéchisme à 7 ans. Le 8 avril 1849 lors de la fête de pâques, Dominique fait sa première communion. Parmi ses résolutions : confesser, communier le plus souvent possible et sanctifier. À l’école de Castelnuovo d’Asti en Italie, Dominique Savio est le premier de sa classe. À l’âge de 10 ans, il fait 4 km seul chaque jour, pour aller dans une école supérieure. Quand on l’interroge, il répond : « Je ne suis pas seul, j’ai mon ange-gardien à côté de moi. » Son patron est Dieu et son maître d’école un certain Don Allora.

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Les catholiques et patriotes français doivent-ils voter pour Zemmour ?

Pour voir ou revoir ma précédente vidéo publiée il y a 3 ans, le 6 mars 2019 : Zemmour et Finklielkraut sont-ils des amis ou des ennemis du patriotisme français ?

Pour commander les 2 livres évoqués dans cette vidéo d’analyse :
Le complot contre Dieu (décembre 2014)
La France juive d’Édouard Drumont


Jésus-Christ, solution au trafic de stupéfiants ?

Cette vidéo propose une solution alternative et spirituelle (ni de gauche, ni de droite) à la problématique du trafic de stupéfiants qui, à ce jour, n’a pas été résolue.


L’appréciable soutien du site Pro Fide Catholica

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Dieu éprouve ceux qui l’aiment

Ces quelques affirmations nous renvoient au 4e mystère douloureux : le portement de la croix.

Merci à Anne pour ses jolies illustrations et son soutien des plus appréciables.


2000 ans d’opposition entre l’Église et la synagogue

Cette importante conférence a été aussi publiée sur Médias Presse Infos.

Les livres mentionnés dans cette conférence sont, dans l’ordre chronologique : Le complot contre Dieu, De la question juive, La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture et Le réseau Rampolla. À lire également sur cette même thématique : 2000 ans de complot contre l’Église.


Interview d’E. Michael Jones sur « L’esprit révolutionnaire juif »

L’esprit révolutionnaire juif est un livre de référence sur l’antijudaïsme, une sorte d’encyclopédie historique dont le fil rouge est théologique. Préfacé par Pierre Hillard, l’ouvrage d’Eugene Michael Jones s’inscrit dans la grande tradition de la littérature catholique contre-révolutionnaire. Ce livre traite des multiples aspects de cet esprit révolutionnaire qui parcourt l’histoire depuis 2000 ans. Il cible, avec pertinence et précision, le mal spirituel rongeant cette communauté qui ne cesse de rejeter le messie annoncé dans l’Ancien Testament. Édité en France aux éditions Saint-Rémi, L’esprit révolutionnaire juif est un ouvrage à lire et à relire tant il est complet et riche en informations.

Comment définiriez-vous l’esprit révolutionnaire juif ?
E. Michael Jones : C’est le rejet du Logos par le peuple élu de Dieu.

Cet esprit réside-t-il avant tout dans le rejet de Jésus-Christ et l’opposition au Logos ?
Oui, cela commence par le rejet du Christ, mais se retrouve ensuite dans le rejet du Logos dans toutes ses manifestations, y compris l’ordre social en politique, la beauté en art et l’harmonie en musique.

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L’esprit révolutionnaire juif – Morceaux choisis

Voici quelques extraits de l’immense livre d’Eugene Michael Jones intitulé L’esprit révolutionnaire juif et son impact sur l’histoire du monde :

« L’Europe, c’est la foi biblique plus la pensée grecque [1] : l’Europe est fondée sur le Logos. » (page 22)

« C’est uniquement dans le christianisme que les juifs peuvent trouver l’accomplissement de leurs attentes messianiques. » (page 78)

« La Kabbale semble être née au douzième siècle en Provence, où elle était l’équivalent juif de l’hérésie albigeoise, à savoir une résurgence du gnosticisme néoplatonicien. » (page 253)

« L’évangile se fait charnel quand on le sépare de l’Église ; il dégénère alors au point de justifier la violation de la chasteté et de l’interdiction de l’usure. Il devient en fin de compte, comme Nietzsche l’a dit, une façade pour la volonté de pouvoir. » (page 351)

« Grâce au soutien juif, [2] les calvinistes devinrent en 1566 la manifestation de la révolution mondiale. » (page 381)

« À l’instar des Cecil et des Russell, les Cromwell tiraient leur richesse et leur pouvoir du pillage des biens de l’Église catholique. » (page 448)

« La révolution est fondamentalement une idée juive. » (page 465)

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21 janvier 1793 : les derniers mots de Louis XVI avant de mourir

« Nous rappelant Jésus-Christ, le roi martyr eut juste le temps de dire, avant sa mort, ces quelques mots merveilleux car plein de miséricorde : « Peuple, je meurs innocent ! Je pardonne aux auteurs de ma mort ! Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France ! »

Jamais un aussi grand crime n’eut autant de complices. Jamais il n’eut des conséquences aussi dramatiques. Pour la France. Pour sa descendance. Pour tous ceux qui ont l’amour de cette nation chevillée au corps et à l’âme. »

Extrait tiré du livre Le complot contre Dieu (2014)


Les deux étendards : république judéo-maçonnique ou civilisation chrétienne ?

Nous avons, en France, le choix entre deux étendards : la république judéo-maçonnique ou la civilisation chrétienne ? Notre Seigneur Jésus-Christ ou Lucifer ? Retrouvez cet extrait dans cette conférence donnée le 9 mars à Nice : De la société sans Dieu à la perversion des mœurs.


Dieu/Satan, l’antagonisme des 2 cités

Cette conférence a été donnée cet été à Saint-Croix-du-Mont puis à Paris.
Elle a aussi été publiée sur Gloria TV et Dailymotion.

Retrouvez la thématique de cette conférence dans Le complot contre Dieu.

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Les éclairantes citations du cardinal Pie

cardinal pie photo

Louis-Édouard Pie n’est plus de ce monde depuis exactement 136 ans. Il laisse derrière lui une œuvre immense. Le cardinal Pie fut un maître de l’école antilibérale du XIXe siècle. Un des plus éminents hommes d’Église que la France ait connu. Voici près d’une vingtaine de citations pour faire connaître et aimer celui qui fut, en son temps, l’évêque de Poitiers.

Le cardinal Pie lors de son fameux discours prononcé à Nantes le 8 novembre 1859 :

« Ce qui est certain, c’est qu’à mesure que le monde approchera de son terme, les méchants et les séducteurs auront de plus en plus l’avantage : Mali autem et seductores proficient in pejus (II Timoth., III, 13). On ne trouvera quasiment plus la foi sur la terre (Luc, XVIII, 8), c’est-à-dire, elle aura presque complètement disparu de toutes les institutions terrestres. Les croyants eux-mêmes oseront à peine faire une profession publique et sociale de leurs croyances. La scission, la séparation, le divorce des sociétés avec Dieu, qui est donné par Saint Paul comme un signe précurseur de la fin : nisi venerit discessio primum (II Thessal., I, 3), ira se consommant de jour en jour. L’Église, société sans doute toujours visible, sera de plus en plus ramenée à des proportions simplement individuelles et domestiques. »

Le cardinal Pie à Napoléon III le 15 mars 1859 :

— Sire, ni la Restauration, ni vous n’avez fait pour Dieu ce qu’il fallait faire parce que, ni l’un ni l’autre, vous n’avez relevé son trône ; parce que, ni l’un ni l’autre, vous n’avez renié les principes de la Révolution dont vous combattez cependant les conséquences pratiques ; parce que l’évangile social dont s’inspire l’Etat est encore la déclaration des droits de l’homme, laquelle n’est rien d’autre chose, Sire, que la négation formelle des droits de Dieu. Or, c’est le droit de Dieu de commander aux Etats comme aux individus. Ce n’est pas pour autre chose que Notre-Seigneur est venu sur la terre. Il doit y régner en inspirant les lois, en sanctifiant les mœurs, en éclairant l’enseignement, en dirigeant les conseils, en réglant les actions des gouvernements comme des gouvernés. Partout où Jésus-Christ n’exerce pas ce règne, il y a désordre et décadence. Or, j’ai le droit de vous dire qu’il ne règne pas parmi nous et que notre Constitution n’est pas, et loin de là, celle d’un Etat chrétien et catholique. Notre droit public établit bien que la religion catholique est celle de la majorité des français ; mais il ajoute que les autres cultes ont droit à une égale protection. N’est-ce pas proclamer que la Constitution protège pareillement l’erreur et la Vérité ? Eh bien, savez-vous, Sire, ce que Jésus-Christ répond aux gouvernements qui se rendent coupables d’une telle contradiction ? Jésus-Christ, Roi du ciel et de la terre leur répond : « Et moi aussi, gouvernements qui vous succédez en vous renversant les uns les autres, moi aussi je vous accorde une égale protection. J’ai accordé cette protection à l’empereur, votre oncle; j’ai accordé la même protection aux Bourbons, la même protection à Louis Philippe, la même protection à la République et à vous aussi, la même protection vous sera accordée ». »

L’empereur Napoléon III arrêta l’évêque de Poitiers : « Mais encore, croyez-vous (…) que le moment soit venu d’établir ce règne exclusivement religieux que vous me demandez ? »

— « Sire, quand de grands politiques comme Votre Majesté m’objectent que le moment n’est pas venu, je n’ai qu’à m’incliner parce que je ne suis pas un grand politique. Mais je suis évêque, et comme évêque, je leur réponds : le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner ! Eh bien alors, le moment n’est pas venu pour les gouvernements de durer ! »

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Révolution & contre-révolution

Voici la vidéo de la conférence « Révolution & contre-révolution » qui s’est tenue à Paris le samedi 6 juin sur l’invitation de France Action Jeunesse.

Remerciements à Jérémy Thébault et son équipe pour leur chaleureux accueil ainsi qu’au site Médias-Presse-Info pour la réalisation de la vidéo.

Retrouvez le thème de la révolution dans mon livre Le complot contre Dieu :

Le complot contre Dieu couverture
Vous pouvez commander Le complot contre Dieu via Paypal ou en envoyant un chèque de 24,50 euros (frais de port inclus) à l’ordre de Johan Livernette à l’adresse suivante :

Livernette Johan
BP 30042
83040 Toulon cedex 9


Pour Dieu et la France, l’union des patriotes face au mondialisme

L’union ou tout du moins la coopération des patriotes est aujourd’hui et plus que jamais une nécessité. Pour faire face efficacement au système mondialiste, l’idée de patrie est fondamentale. Il est en effet essentiel d’avoir le même amour de sa patrie, de son pays, de sa terre, de sa religion, de ses traditions, de sa culture, de son terroir, de son glorieux passé, de nos glorieux aînés, de tout ce qui a fait la grandeur de la France et sa spécificité.

Sont donc concernés tous ceux qui aiment leur pays, qu’ils soient croyants ou non, mais en tenant compte toutefois d’une chose importante : la patrie française n’est point la France des Lumières, celle des encyclopédistes francs-maçons Voltaire, Diderot et d’Alembert ni celle du laïciste Jules Ferry, ou du naturaliste Rousseau ou encore celle de l’évolutionniste Lamarck. Non, la France est la Fille aînée de l’Église catholique. Telle est la véritable nature de notre patrie. Nos élites maçonniques n’en ont pourtant pas la même conception. Ce qui, lorsqu’on est membre d’une loge, est somme toute logique.

Déclaration Droits de l'Homme
Pour le socialiste franc-maçon Vincent Peillon, « la révolution est un événement religieux qui implique l’oubli total de ce qui la précède ». Selon lui, l’histoire de France aurait commencé en 1789. La France serait donc la France des Lumières, des Droits de l’Homme.

Pour Jacques Attali (talmudiste franc-maçon du B’naï B’rith), c’est un peu pareil. C’est même pire. Pour ce conseiller économique à vie à l’Élysée, « un pays c’est un hôtel. » Sa conception du monde, c’est le fameux village global. Un concept pas très éloigné de celui de son coreligionnaire Edgar Morin et de sa promotion de la planète-patrie. Autrement dit : avoir le monde pour seule patrie. En conciliant les deux, Morin et Attali, la France serait un simple hôtel au sein d’un village global que l’on devrait accepter comme unique patrie ! Cette considération est l’antithèse de ce qu’est réellement la France. Ceci est pourtant le projet antipatriote de nos élites maçonniques qui ne cessent de projeter leurs désirs talmudiques dans notre réalité.

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