L’union ou tout du moins la coopération des patriotes est aujourd’hui et plus que jamais une nécessité. Pour faire face efficacement au système mondialiste, l’idée de patrie est fondamentale. Il est en effet essentiel d’avoir le même amour de sa patrie, de son pays, de sa terre, de sa religion, de ses traditions, de sa culture, de son terroir, de son glorieux passé, de nos glorieux aînés, de tout ce qui a fait la grandeur de la France et sa spécificité.
Sont donc concernés tous ceux qui aiment leur pays, qu’ils soient croyants ou non, mais en tenant compte toutefois d’une chose importante : la patrie française n’est point la France des Lumières, celle des encyclopédistes francs-maçons Voltaire, Diderot et d’Alembert ni celle du laïciste Jules Ferry, ou du naturaliste Rousseau ou encore celle de l’évolutionniste Lamarck. Non, la France est la Fille aînée de l’Église catholique. Telle est la véritable nature de notre patrie. Nos élites maçonniques n’en ont pourtant pas la même conception. Ce qui, lorsqu’on est membre d’une loge, est somme toute logique.

Pour le socialiste franc-maçon Vincent Peillon, « la révolution est un événement religieux qui implique l’oubli total de ce qui la précède ». Selon lui, l’histoire de France aurait commencé en 1789. La France serait donc la France des Lumières, des Droits de l’Homme.
Pour Jacques Attali (talmudiste franc-maçon du B’naï B’rith), c’est un peu pareil. C’est même pire. Pour ce conseiller économique à vie à l’Élysée, « un pays c’est un hôtel. » Sa conception du monde, c’est le fameux village global. Un concept pas très éloigné de celui de son coreligionnaire Edgar Morin et de sa promotion de la planète-patrie. Autrement dit : avoir le monde pour seule patrie. En conciliant les deux, Morin et Attali, la France serait un simple hôtel au sein d’un village global que l’on devrait accepter comme unique patrie ! Cette considération est l’antithèse de ce qu’est réellement la France. Ceci est pourtant le projet antipatriote de nos élites maçonniques qui ne cessent de projeter leurs désirs talmudiques dans notre réalité.
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