Archives de Tag: Joseph de Maistre

Piqûre de rappel aux patriotes français qui fêtent le 14 juillet

Un bon livre de l’historien Jean de Viguerie sur la distinction entre patriotisme français et patriotisme révolutionnaire : Les deux patries.

« La Révolution est satanique en son essence et elle ne pourra être vaincue, tuée que par le principe contraire. » Joseph de Maistre (Considérations sur la France, 1796)

À voir également : République maçonnique contre France catholique.

Lire la suite

Lettre ouverte à Étienne Chouard

Voici les différents livres et encycliques recommandés dans cette vidéo qui a été aussi publiée sur Gloria TV :

Vérités sociales et erreurs démocratiques de Mgr Henri Delassus
Notre charge apostolique de saint Pie X
La conjuration antichrétienne de Mgr Henri Delassus
La révolution mondiale de Nesta H. Webster
La franc-maçonnerie dans la révolution française de Maurice Talmeyr
La révolution française à l’occasion du centenaire de Mgr Charles Freppel
Considérations sur la France de Joseph de Maistre
Quas primas de Pie XI

Retrouvez le contenu de cette vidéo dans ce document : Lettre ouverte à Etienne Chouard.

À lire également : La démocratie contre les intérêts du peuple.


Hommage au cardinal Pie

cardinal pie photo
Né le 26 septembre 1815 à Pontgouin dans l’Eure-et-Loir il y a donc exactement 200 ans, Louis-Édouard Pie est décédé le 18 mai 1880 à Angoulême. Il perdit son père à l’âge de 13 ans. Fils de cordonnier, Louis-Édouard fut vicaire à la cathédrale de Chartres puis évêque de Poitiers à seulement 34 ans, et ce durant 30 ans.

Le cardinal Pie prônait la royauté sociale du Christ, dogme établi au XXe siècle par le pape Pie XI. Il prônait aussi la réconciliation entre l’homme et Dieu, le courage et la sainteté chrétienne face à l’apostasie qui guettait déjà les nations européennes au XIXe siècle. Les écrits de l’évêque de Poitiers sont en cela prophétiques. Car ce qu’il prévoyait à son époque se produit de nos jours sous no yeux. Avec le cardinal Pie, la maxime « Dieu premier servi » prend tout son sens. Car pour lui, Jésus-Christ est en aucun cas facultatif. Il est le Roi des nations qui doivent Lui obéir, les peuples devant être dans la soumission à Dieu.

Le cardinal Pie présenta le dogme de l’infaillibilité au concile Vatican I. Il fut consulté par le pape Pie IX pour le Syllabus qu’il considérait comme un antidote à la Révolution. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, il s’opposa vivement au franc-maçon carbonari Napoléon III à l’œuvre contre la papauté. Issu comme lui d’un milieu modeste, l’illustre saint Pie X se forma en lisant tous les livres du cardinal Pie. Il reprit même ses écrits dans ses actes pontificaux. Il le considérait comme son maître. À l’instar du cardinal Pie, saint Pie X eut pour principe fondateur, la devise Instaurare omnia in Christo.

Fermement attaché aux principes, théologien de haut niveau, Louis-Édouard Pie fut le chef de file de l’école antilibérale où l’on retrouvait notamment Dom Guéranger, Louis Veuillot, Mgr Thomas Gousset, Juan Donoso Cortès, Antoine Blanc de Saint-Bonnet, Mgr Henri Delassus, Mgr Ernest Jouin et avant eux Joseph de Maistre et Louis de Bonald. Proche du comte de Chambord, le cardinal Pie espéra en vain une restauration monarchique de la France, un retour à sa vocation première. Ses écrits sont aujourd’hui et plus que jamais une référence. Le cardinal Pie demeure l’un des plus grands hommes d’Église que la France et l’Europe aient connu.

Johan Livernette le 26 septembre 2015


Pour Dieu et la France, l’union des patriotes face au mondialisme

L’union ou tout du moins la coopération des patriotes est aujourd’hui et plus que jamais une nécessité. Pour faire face efficacement au système mondialiste, l’idée de patrie est fondamentale. Il est en effet essentiel d’avoir le même amour de sa patrie, de son pays, de sa terre, de sa religion, de ses traditions, de sa culture, de son terroir, de son glorieux passé, de nos glorieux aînés, de tout ce qui a fait la grandeur de la France et sa spécificité.

Sont donc concernés tous ceux qui aiment leur pays, qu’ils soient croyants ou non, mais en tenant compte toutefois d’une chose importante : la patrie française n’est point la France des Lumières, celle des encyclopédistes francs-maçons Voltaire, Diderot et d’Alembert ni celle du laïciste Jules Ferry, ou du naturaliste Rousseau ou encore celle de l’évolutionniste Lamarck. Non, la France est la Fille aînée de l’Église catholique. Telle est la véritable nature de notre patrie. Nos élites maçonniques n’en ont pourtant pas la même conception. Ce qui, lorsqu’on est membre d’une loge, est somme toute logique.

Déclaration Droits de l'Homme
Pour le socialiste franc-maçon Vincent Peillon, « la révolution est un événement religieux qui implique l’oubli total de ce qui la précède ». Selon lui, l’histoire de France aurait commencé en 1789. La France serait donc la France des Lumières, des Droits de l’Homme.

Pour Jacques Attali (talmudiste franc-maçon du B’naï B’rith), c’est un peu pareil. C’est même pire. Pour ce conseiller économique à vie à l’Élysée, « un pays c’est un hôtel. » Sa conception du monde, c’est le fameux village global. Un concept pas très éloigné de celui de son coreligionnaire Edgar Morin et de sa promotion de la planète-patrie. Autrement dit : avoir le monde pour seule patrie. En conciliant les deux, Morin et Attali, la France serait un simple hôtel au sein d’un village global que l’on devrait accepter comme unique patrie ! Cette considération est l’antithèse de ce qu’est réellement la France. Ceci est pourtant le projet antipatriote de nos élites maçonniques qui ne cessent de projeter leurs désirs talmudiques dans notre réalité.

Lire la suite