La guerre en Ukraine a commencé officiellement il y a un an. C’est l’occasion de tirer un premier bilan, d’effectuer un petit récapitulatif en partageant certaines informations et réflexions à travers 10 enseignements au sujet de ce conflit mondial.
Le conseiller à l’Élysée en dénombre 7. Il pourrait y en avoir d’autres. Ces crises et problématiques sont toutes d’envergure internationale. Elles doivent servir de prétexte pour basculer vers un Nouvel Ordre Mondial que Jacques Attali appelle de ses vœux depuis longtemps. Le mentor de Macron est en effet le principal promoteur en France de ce projet mondialiste, avec selon lui Jérusalem capitale d’un monde unifié.
Voyons ensemble quelles sont ces crises énumérées par Jacques Attali :
1) Une crise climatique qui est pour lui une certitude. Selon Attali, des mesures à l’échelle mondiale devront être prises par les dirigeants politiques pour que la planète soit encore habitable dans 30 ans ! Ce qui est grotesque.
Ce twitt du haut initié Attali n’est pas sans rappeler ses propos tenus sur France 5 en avril 2016 : « Il y aura une révolution dans ce pays avant 2022. » Le pire est donc à redouter, en France et dans le monde.
Merci à la section aixoise d’Egalité & Réconciliation pour cette interview sur l’actualité réalisée le 3 septembre dernier. Cette vidéo a aussi été publiée sur Dailymotion et Gloria TV.
En introduction de la conférence de Louis-Hubert Remy sur sainte Jeanne d’Arc fut lu, le samedi 25 mai près de Toulon, le message de Notre Dame à La Salette. Ci-dessous quelques photos de ce sympathique après-midi. Lire la suite
J’en profite pour relayer une critique élogieuse lue sur Souveraineté du peuple de ma dernière conférence donnée en octobre à Paris tout en vous rappelant que mon dernier livre est en commande sur ce lien.
L’habituel discours anti-impérialiste de Mahmoud Ahmadinejad à l’ONU s’est tenu, mercredi à New York, le jour du Yom Kippour. Ce n’est certainement pas un hasard du calendrier, un peu comme si tout avait été conçu pour une provocation inter-religieuse de plus en ces temps tourmentés. En effet, alors que l’assemblée générale de l’ONU s’était ouverte la veille, le discours du président iranien fut prononcé le Jour du Grand Pardon, le 26 septembre. La coïncidence apparaissait pour le moins suspecte, de surcroît dans le climat belliciste actuel.