Alors que seule la vérité doit nous intéresser, beaucoup de gens font fausse route par haine (légitime) de la racaille et tombent dans le panneau des médias alignés, du système. Se focalisant uniquement sur ce que ces mêmes médias (menteurs) pointent du doigt.
11 septembre 2001, affaire Merah, attentats contre Charlie Hebdo, attentat du 13 novembre au Bataclan, attentat du 14 juillet à Nice, égorgement d’un prêtre à Saint-Etienne-du-Rouvray le 26 juillet… Reprenons les cibles une à une : les tours jumelles (symbole du capitalisme), un journal satirique antireligieux (antimusulman et surtout antichrétien), un concert de rock de tendance satanique, le jour de fête nationale de la république française et enfin un prêtre c’est-à-dire un ministre de Dieu. Toutes ces cibles sont autant de symboles qui ne doivent rien au hasard.
À chaque attentat, la version médiatique est foireuse, entachée de mensonges. Régulièrement les médias nous cachent des images et des témoignages qui contredisent leur thèse (exemple : cette jeune fille qui a vu un homme armé sortir du camion) ou font parler un faux héros comme le niçois Franck dont le témoignage est mensonger.
De l’inside job au chaos
À chaque attentat, non seulement nous ne sommes pas certains de l’identité des exécutants mais on ne remonte jamais aux commanditaires. Car c’est surtout cela qui doit nous intéresser pour éradiquer le mal à la source. Qui sont les commanditaires ? Qui a suffisamment de puissance et de réseaux pour réaliser ces attentats à grande échelle sans se faire attraper ni condamner ?