Le 20 mars 1979 décédait le journaliste Carmine Pecorelli, tué par plusieurs balles dans sa voiture. Il était âgé de 50 ans. Son assassinat a été commis par la loge P2 dirigée par Licio Gelli et Umberto Ortolani. Le 12 septembre 1978, Mino Pecorelli avait publié une liste de francs-maçons, ecclésiastiques pour la plupart, dans l’hebdomadaire italien L’Osservatore politico.
Merci à Martin Prune (sur VK) pour l’illustration.
À l’heure où les médias alignés et une partie de la tradition rendent hommage à Joseph Ratzinger (Benoît XVI) et où trop de catholiques considèrent Jean XXIII et Jean-Paul II comme « saints », il est nécessaire, selon moi, de rappeler quelle est la situation dans l’Église et quelle conclusion en tirer.
Précision à la 2ème minute : c’est au canon de la messe que le prêtre prononce ou pas (messe non una cum) le nom de celui qu’il considère comme pape. Autre précision : un pape ne peut être moderniste car l’hérésie sépare de l’Église et le modernisme est l’égout collecteur des hérésies.
Sur Vatican II et les différents chefs modernistes de la secte conciliaire, une conférence avait été donnée sur le sujet en novembre 2018 :
Pour aller plus loin, de manière complète, sur la crise dans l’Église :
Le jeudi 28 avril en soirée, eut lieu à Nice une rencontre-dédicaces organisée par l’association Culture populaire. Ce fut l’occasion de retrouver certains de mes fidèles soutiens et de répondre à leur interview intitulée « Face à l’asso ». Merci à cette association niçoise pour son aimable invitation.
Parmi les meilleures ventes du catalogue des éditions Saint-Rémi lors de ces 30 derniers jours, figure à la 3ème place le livre de Francisco Franco que j’ai eu l’honneur de préfacer, mais également Le complot contre Dieu, mon 5ème bouquin paru en décembre 2014. Enfin, mon dernier ouvrage Une loge maçonnique dirige le Vatican (septembre 2018) est aussi présent dans ce classement à la 7ème position. C’est la preuve que ces livres se vendent toujours bien et que le complot talmudo-maçonnique continue d’intéresser de nombreux lecteurs. En atteste la quatrième place du classique de monseigneur Henri Delassus La conjuration antichrétienne.
En 2018, dans l’introduction (page 6) de mon livre Une loge maçonnique dirige le Vatican, la question était déjà posée. La réponse était donnée un peu plus loin par Malachi Martin qui évoquait une « loge spéciale » alors que Pier Carpi parlait, lui, d’une « loge ecclésiastique ».
D’après Henri Barbier dont les travaux sont sérieux et fiables, quatre loges maçonniques ont désormais la mainmise sur l’Église conciliaire issue de Vatican II : la loge Saint Jean de Jérusalem, la loge Rampolla, la super-loge Ecclesia [1] et une dernière loge dont on ignore le nom.
[1] Cette super-loge est très probablement la loge ecclésiastique dont parlait Carpi. D’après Gioele Magaldi, Angelo Roncalli (Jean XXIII) en a fait partie.
Cet extrait tiré d’une interview datant de septembre 2014 est toujours d’actualité. Toutefois, pour aller plus loin sur cette crise dans l’Église romaine, il y a cette conférence donnée à Toulon : Une loge maçonnique dirige le Vatican portant sur mon dernier livre sorti il y a 2 ans, jour pour jour, le 19 septembre 2018.
Invité le 27 novembre 2017 par le journaliste Roberto Garcia dans une émission télévisée argentine sur la chaîne 26, l’ancien secrétaire des renseignements argentins du Vatican, Juan Bautista Yofre a dévoilé l’appartenance maçonnique de Jorge Mario Bergoglio ainsi que la sienne. Yofre a précisé que cette information avait déjà été révélée par le journal La Nacion. Notons que Bergoglio ne l’a jamais démentie. La prise de parole de Juan Bautista Yofre débute à la 28e minute :
Nous savions que l’imposteur Bergoglio est le grand ami des rabbins. Nous connaissions aussi son affiliation au club paramaçonnique du Rotary argentin. Au regard de son parcours et de ses nombreuses déclarations anticatholiques, il ne serait pas du tout étonnant qu’il soit affilié à une loge maçonnique, comme l’ont affirmé La Nacion et Juan Bautista Yofre. Cette information est à ajouter au dossier Bergoglio effectué en août 2015. Rappelons enfin qu’on ne peut être catholique et franc-maçon, l’Église ayant condamné la franc-maçonnerie à de multiples reprises, de la bulle In eminenti apostolatus specula de Clément XII à l’encyclique Humanum genus de Léon XIII. Vous trouverez bien plus d’informations sur Bergoglio, les chefs de l’Église conciliaire et Vatican II dans mon livre Une loge maçonnique dirige le Vatican.
Déchristianisation : la faute à qui ? Telle est la question posée dans cet article de Boulevard Voltaire [1] où l’auteur fait référence, dès la première phrase, au juif sioniste Finkielkraut, ce qui est déjà un mauvais signe. Tout autant que la réponse affirmative à la question posée dans le titre : « Les raisons de la déchristianisation sont connues. L’effondrement de la pratique, les abus sexuels, le laxisme des mœurs, un paganisme qui touche l’Église elle-même : Dieu est désormais exclu de la société. Certes, la pédophilie dans l’Église a accéléré le processus commencé dans les années 60… »
Voilà ce qui serait à l’origine notre déchristianisation… Il n’y a donc rien sur le travail de sape de la contre-Église depuis 1789. Rien sur la persécution antichrétienne sous la IIIe république. Rien sur la déclaration (maçonnique) des droits de l’homme (« Dieu exclu de la société »). Rien sur la séparation de l’Église et l’État en 1905. Rien sur le conciliabule Vatican II. Rien sur les rencontres interreligieuses d’Assise. Rien sur l’œcuménisme, le modernisme en vigueur à Rome. Rien sur l’infiltration maçonnique dans l’Église officielle. Rien sur l’action judéo-maçonnique du B’naï B’rith. Rien sur les antipapes qui se succèdent et usurpent le Saint-Siège. Rien sur les frasques de Bergoglio etc… En conclusion : c’est le néant. Or quand on pose une question aussi importante, la moindre des choses est d’y répondre dans une démarche de vérité.